Vitrail des prophètes et sibylles annonçant la venue d’un règne nouveau

par Nicolas Coffetier (1884)

Ces vitraux sont présentés sous des arcatures rappelant les vitraux du XIVe siècle. Les sibylles sont ces prophétesses païennes qui avaient annoncé la venue d’un règne nouveau.

Non exposé :

Toujours dans la cathédrale, inaccessible depuis l’incendie

Vitrail de la vie de saint Étienne

par Eugène Oudinot (1860)

Ce vitrail, signé Oudinot en 1860, est réalisé à partir d’un carton d’Adolphe Steinheil. Il représente la vie de saint Étienne, premier martyr, mort lapidé.

Non exposé :

Toujours dans la cathédrale, inaccessible depuis l’incendie

Vitrail de la vie de saint Louis

par Edouard Didron (1865)

C’est ainsi que Saint louis est très souvent représenté dans les églises proches des lieux où il vécut. Ici à Notre-Dame, c’est le roi en tant que saint qui est montré en exemple.

Non exposé :

Toujours dans la cathédrale, inaccessible depuis l’incendie

Vitrail de la vie de saint Eustache

par Edouard Didron (1863)

Dans la rose du tympan du vitrail Saint-Eustache (chapelle Saint- Georges), cette scène, exécutée par Didron en 1863, illustre le martyre d’Eustache, général de l’armée romaine, et de sa famille, qui ont été placés dans un taureau d’airain chauffé à blanc sur un brasier.

Non exposé :

Toujours dans la cathédrale, inaccessible depuis l’incendie

Vitrail de l’arbre de Jessé

par Edouard Didron (1864)

Ce vitrail, signé par Didron en 1864 présente Jessé allongé, semblable à un arbre abattu, la joue appuyée sur la main droite dans le geste de la méditation, et les yeux clos, tout à sa vision intérieure. Comme à Chartres ou à la Sainte-Chapelle s’installent dans les branches David et Salomon accompagnés d’autres rois ancêtres du Christ.

Non exposé :

Toujours dans la cathédrale, inaccessible depuis l’incendie