May peint en 1687 par Louis Chéron, offert par la confrérie des orfèvres. Agabus prédit à saint Paul son arrestation à Jérusalem, ce dernier plein de confiance l’accepte. En savoir plus.
Non exposée :
Stockée en réserve, hors de la cathédrale
May peint en 1687 par Louis Chéron, offert par la confrérie des orfèvres. Agabus prédit à saint Paul son arrestation à Jérusalem, ce dernier plein de confiance l’accepte. En savoir plus.
Non exposée :
Stockée en réserve, hors de la cathédrale
May peint en 1687 par Louis Chéron, offert par la confrérie des orfèvres. Agabus prédit à saint Paul son arrestation à Jérusalem, ce dernier plein de confiance l’accepte. En savoir plus.
Non exposée :
Stockée en réserve, hors de la cathédrale
Le martyre de saint André est un May peint en 1647 par Charles Le Brun. Une des nombreuses peintures offertes à la cathédrale par la confrérie des orfèvres. Le peintre choisit de représenter le moment où l’apôtre est saisi pour être attaché à la croix de son supplice. En savoir plus.
Non exposée :
Stockée en réserve, hors de la cathédrale
Le martyre de saint André est un May peint en 1647 par Charles Le Brun. Une des nombreuses peintures offertes à la cathédrale par la confrérie des orfèvres. Le peintre choisit de représenter le moment où l’apôtre est saisi pour être attaché à la croix de son supplice. En savoir plus.
Non exposée :
Stockée en réserve, hors de la cathédrale
May peint en 1702 par Matthieu Elyas, offert par la confrérie des orfèvres.
Non exposée :
Stockée en réserve, hors de la cathédrale
May peint en 1702 par Matthieu Elyas, offert par la confrérie des orfèvres.
Non exposée :
Stockée en réserve, hors de la cathédrale
May peint en 1635 par Laurent de La Hyre, offert par la confrérie des orfèvres. Il représente, parmis les premiers miracles des apôtres, saint Pierre guérissant les malades à son passage. En savoir plus.
Non exposée :
Toujours dans la cathédrale, inaccessible depuis l’incendie
May peint en 1635 par Laurent de La Hyre, offert par la confrérie des orfèvres. Il représente, parmis les premiers miracles des apôtres, saint Pierre guérissant les malades à son passage. En savoir plus.
Non exposée :
Toujours dans la cathédrale, inaccessible depuis l’incendie
La peinture du triomphe de Job provient de l’Église des Mendiants de Bologne en Italie.
Non exposée :
Toujours dans la cathédrale, inaccessible depuis l’incendie
La peinture du triomphe de Job provient de l’Église des Mendiants de Bologne en Italie.
Non exposée :
Toujours dans la cathédrale, inaccessible depuis l’incendie
Simon Matifas de Bucy, évêque de 1298 à 1304, fut le promoteur de la réalisation de cette chapelle. À sa mort, son gisant fut installé dans cette chapelle, surmonté de cette fresque restaurée au XIXe siècle.
Non exposée :
Toujours dans la cathédrale, inaccessible depuis l’incendie
Simon Matifas de Bucy, évêque de 1298 à 1304, fut le promoteur de la réalisation de cette chapelle. À sa mort, son gisant fut installé dans cette chapelle, surmonté de cette fresque restaurée au XIXe siècle.
Non exposée :
Toujours dans la cathédrale, inaccessible depuis l’incendie
Dans cette chapelle dédiée à Monseigneur Georges Darboy, évêque de Paris fusillé en 1871, cette fresque représente le saint terrassant un dragon qui s’apprêtait à dévorer une princesse. L’allégorie de la délivrance de l’Église opprimée, de la victoire de la foi chrétienne.
Non exposée :
Toujours dans la cathédrale, inaccessible depuis l’incendie
Dans cette chapelle dédiée à Monseigneur Georges Darboy, évêque de Paris fusillé en 1871, cette fresque représente le saint terrassant un dragon qui s’apprêtait à dévorer une princesse. L’allégorie de la délivrance de l’Église opprimée, de la victoire de la foi chrétienne.
Non exposée :
Toujours dans la cathédrale, inaccessible depuis l’incendie
Parmi les huit grands tableaux qui ornaient le chœur, seul celui-ci demeure aujourd’hui à Notre-Dame. Il témoigne avec force du décor grandiose mis en place au début du XVIIIe siècle. En savoir plus.
Non exposée :
Toujours dans la cathédrale, inaccessible depuis l’incendie
Parmi les huit grands tableaux qui ornaient le chœur, seul celui-ci demeure aujourd’hui à Notre-Dame. Il témoigne avec force du décor grandiose mis en place au début du XVIIIe siècle. En savoir plus.
Non exposée :
Toujours dans la cathédrale, inaccessible depuis l’incendie
Peint par Antoine Nicolas au XVIIe siècle, ce tableau est offert à la cathédrale en 1950 par un couvent de Dominicains de Paris pour le 700e anniversaire de la mort de saint Thomas d’Aquin. Il dépeint une allégorie de la spiritualité du saint comme une fontaine à laquelle s’abreuvent les âmes qui ont soif de Dieu.
Non exposée :
Stockée en réserve, hors de la cathédrale
Peint par Antoine Nicolas au XVIIe siècle, ce tableau est offert à la cathédrale en 1950 par un couvent de Dominicains de Paris pour le 700e anniversaire de la mort de saint Thomas d’Aquin. Il dépeint une allégorie de la spiritualité du saint comme une fontaine à laquelle s’abreuvent les âmes qui ont soif de Dieu.
Non exposée :
Stockée en réserve, hors de la cathédrale
May peint en 1637 par Laurent de La Hyre, offert par la confrérie des orfèvres. Il représente l’instant où Saul, persécuteur des chrétiens, chute de cheval à l’apparition du Christ, source de sa conversion.
Non exposée :
Stockée en réserve, hors de la cathédrale
May peint en 1637 par Laurent de La Hyre, offert par la confrérie des orfèvres. Il représente l’instant où Saul, persécuteur des chrétiens, chute de cheval à l’apparition du Christ, source de sa conversion.
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Stockée en réserve, hors de la cathédrale