Saint Paul aveugle le faux prophète Bar-Jésus et convertit le proconsul Sergius

par Nicolas Loir (1650)

May peint en 1650 par Nicolas Loir, offert par la confrérie des orfèvres.

Non exposée :

Stockée en réserve, hors de la cathédrale

Saint André tressaillant de joie à la vue de son supplice

par Gabriel Blanchard le Neuveu (1670)

May peint en 1670 par Gabriel Blanchard, offert par la confrérie des orfèvres. Le peintre a représenté le moment où l’apôtre voit la croix de son supplice, empli de confiance et de joie.

Non exposée :

Stockée en réserve, hors de la cathédrale

Les prédications du prophète Agabus à saint Paul

par Louis Chéron (1687)

May peint en 1687 par Louis Chéron, offert par la confrérie des orfèvres. Agabus prédit à saint Paul son arrestation à Jérusalem, ce dernier plein de confiance l’accepte. En savoir plus.

Non exposée :

Stockée en réserve, hors de la cathédrale

Le martyre de saint André

par Charles Le Brun (1647)

Le martyre de saint André est un May peint en 1647 par Charles Le Brun. Une des nombreuses peintures offertes à la cathédrale par la confrérie des orfèvres. Le peintre choisit de représenter le moment où l’apôtre est saisi pour être attaché à la croix de son supplice. En savoir plus.

Non exposée :

Stockée en réserve, hors de la cathédrale

Pierre tombale d’Étienne Yver

(XVe siècle)

Étienne Yver fut chanoine de Paris et de Rouen, archidiacre du Grand-Caux, conseiller du roi, inhumé dans la chapelle Sainte-Clotilde.

Non exposée :

Toujours dans la cathédrale, inaccessible depuis l’incendie

Statue de la Vierge des Étudiants

par Antoine Vassé (1722)

Le sculpteur Antoine Vassé réalise en 1722 cette statue, à la demande du cardinal de Noailles pour décorer l’autel de la Vierge d’une chapelle aujourd’hui disparue. Aujourd’hui, on cette statue prie en tant que la « Vierge des Étudiants ».

Non exposée :

Toujours dans la cathédrale, inaccessible depuis l’incendie

Saint Pierre guérissant les malades de son ombre

par Laurent de La Hyre (1635)

May peint en 1635 par Laurent de La Hyre, offert par la confrérie des orfèvres. Il représente, parmis les premiers miracles des apôtres, saint Pierre guérissant les malades à son passage. En savoir plus.

Non exposée :

Toujours dans la cathédrale, inaccessible depuis l’incendie